Un job hors du commun

Il suffit d'inventer

Je kiffe mon job

Je kiffe mon job car ça n’en est pas un.

J’ai plus l’impression de m’amuser, de m’éveiller et de jouer avec des amis.

Je le kiffe tellement que je ne prends jamais (ou toujours) de vacances et que la plupart du temps, je le fais même sans être payé.

Pire, c’est même moi qui débourse de ma poche pour aller bosser!

Je te rassure, je ne suis ni idiot, ni fou (quoique).

J’ai juste pris le sentier non balisé - je me suis aventurer hors piste.

On appelle ça l’entrepreneuriat ou le Freelance.

Perso, j’appelle ça la débrouille et le chemin de vie.

Je suis un Troubadour!

J’ai pourtant eu l’opportunité de prendre le chemin tout tracé de la sécurité = job salarié garanti à vie = Prof de fac.

Y’avait des repères, une route facile à suivre et des petits panneaux explicatifs qui m’indiquait où j’étais.

Le truc, c’est que y’avait déjà du monde sur ce chemin et que je préférais m’aventurer vers l’inconnu.

J’ai donc coupé à travers champs.

Ok, j’avoue, au début, je me suis fait bouffer par les moustiques, mordu par les tiques, et bien plus d’une fois, j’ai cru que j’étais vraiment paumé.

J’ai même été tenté de faire demi-tour.

J’en ai chié plus d’une fois mais à chaque fois, je m’en suis sorti - deux fois plus grandi!

J’ai vécu une accumulation de petites victoires qui ont commencé à prendre place dans mes cellules.

Petit à petit, j’ai développé la confiance d’être totalement moi.

J’ai commencé à croire que je m’en sortirai toujours, peu importe les galères.

Et à force d’y croire, c’est devenu une évidence.

Oui, j’ai eu faim, froid et je me suis bouffé les ongles jusqu’au sang.

Oui, je me suis ramassé quelques fois et j’ai dû prendre de la hauteur pour voir si l’horizon existait toujours.

Oui, j’ai pleuré de peur et trop bu pour m’échapper.

Et puis quoi?

Ça fait aussi parti de mon chemin de vie!

C’est mon autobiographie et c’est moi seul qui l’écrit!

La bonne nouvelle, c’est qu’à force de trainer dans les bois figuratifs de l’existence, j’ai appris à me nourrir de l’essentiel.

J’ai développé ma résilience et je n’ai plus jamais besoin d’emprunter les sentiers battus.

J’ai pas de carte ni de GPS.

Je suis libre d’aller où bon me semble et d’inventer ce qui me plait.

À présent, chacun sa route, et chacun son style!

Car tous les chemins mènent quelque part.

Mais si tu veux couper par les bois, viens en voyage avec moi.

Je connais un raccourcis bien sympa!

On se fait un road trip entre potes à Tenerife (3-11 décembre) pour creuser tous ces sujets tout en kiffant notre liberté.

Réservé aux Hommes (je m’occupe des Sisters en janvier)

Écris-moi pour plus d’infos.

Baba Bear